[Ancien joueur] Anthony Réveillère

Réveillère loue la polyvalence

Dans un entretien accordé au Progès, Anthony Réveillère estime que sa polyvalence « peut être une force. » Concernant l'équipe de France, le latéral lyonnais déclare simplement « être là. »

Utilisé aussi bien à gauche qu'à droite par Alain Perrin lors de la préparation puis en championnat face à Auxerre, Anthony Réveillère ne s'inquiète pas outre mesure. « Le principal, c'est de jouer, déclare dans les colonnes du Progrès le latéral lyonnais. La polyvalence peut être une force. » Interrogé sur ses ambitions avec les Bleus, l'ancien Rennais se montre prudent mais déterminé : « Je me prépare pour parer à toute éventualité. Pour l'équipe de France, je suis là mais je n'en fais pas une obsession. »

Football365

Reveillère est un bon défenseur. Il a de la concurence avec Clerc. C'est dur pour eux de s'imposer puiisqu'ils ont tous les deux le potentiel.

L'Olympique lyonnais n'aura pas effacé le désastre de l'équipe de France devant l'Ecosse (0-1). Les Lyonnais auront même fait pire, car ils étaient prévenus. En s'imposant 3-0 à Gerland, les Glasgow Rangers ont mis fin à cinq ans d'invincibilité lyonnaise à domicile en Ligue des champions. Plus embêtant, Juninho et ses partenaires restent sur trois défaites de rang en C1 (Rome, Barcelone et Glasgow) et leur passif en terme de buts est impressionnant (8 encaissés, 0 marqué). Au total, ils sont à quatre matches d'affilée en Ligue des champions sans avoir fait trembler les filets adverses.

Malgré 6 points de retard, les Lyonnais ne renoncent pas. «Moralement, c'est dur, mais ce n'est pas fini. Il reste quatre matches, on y croit encore», tente relativiser Hatem Ben Arfa. De son côté, Jean-Michel Aulas ne se voile pas la face et pense au moins autant à l'UEFA qu'aux huitièmes de la Ligue des champions. «Statistiquement, ce sera très difficile car avec 0 point en deux matches, il y a plus de chances que l'on ne se qualifie pas que l'on passe. » Encore une fois, l'OL n'a pas eu de patron sur le terrain. Juninho est celui qui a le plus tenté, mais a frappé deux fois les montants. Et les Lyonnais commencent à se dire que ça ne sert à rien de mettre des cartons en championnat (Metz puis Lens) si c'est pour recevoir des gifles similaires trois jours plus tard en Ligue des champions. «On est déçus et abattus», souligne Anthony Réveillère. «On ne peut s'en prendre qu'à nous-mêmes, enchaîne de son côté Mathieu Bodmer. On n'a pas le droit de lâcher les points là où on peut les prendre.»

Même Karim Benzema a été impuissant. «On pointe à la dernière place et ce n'est pas normal», commente le buteur lyonnais, qui s'appuie sur l'exemple d'Arsenal «qui avait perdu ses trois premiers matches de poule, avant de se qualifier» (NDLR, en 2003-2004) pour garder espoir. Il n'empêche, les Lyonnais devront tirer les enseignements de cette deuxième claque. Car cette fois, personne ne peut prétexter qu'il s'agissait d'un match à l'extérieur et que le Barça se trouvait en face. Le président Aulas en est bien conscient - «Il y a un certain nombre de réflexions à mener pour montrer que le résultat est une somme d'erreurs individuelles.» - mais encore une fois, il refuse d'incriminer le recrutement. «C'est trop facile, pour moi ces lacunes viennent des blessures.» Si l'OL sera attendu dimanche à Bordeaux, il devra rapidement gérer le déplacement, le 23 octobre, à Stuttgart. Et pour le coup, la défaite sera interdite. - S. L., à Lyon


Lequipe.fr

Oui mais bon, ils font un bon match quand même donc je ne pense pas qu'ils peuvent avoir des remorts sur ce match a part bien sur de ne pas avoir marquer !! Mais sinon c'était un beau match de la part des Lyonnais !

Superbe but hier, Réveillère69 devait être content.

Oui très beau but !! Un vrai attaquant

Niconinho74 a écrit:

Superbe but hier, Réveillère69 devait être content.

Oh que oui ça m'a fait plaisir

Très beau but de Réveillère.

Il ne pouvait pas mieux la placer en plus !

Régulièrement aligné par Alain Perrin, Anthony Réveillère est revenu à son meilleur niveau après deux saisons difficiles. Un retour au premier plan qui coïncide avec sa prolongation de contrat avec l’OL.

Anthony Réveillère, vous n’aviez plus marqué depuis septembre 2003. Qu’avez-vous ressenti en trouvant les filets face à l’AS Monaco (3 -1) ?
J’ai vu le public sauter et je me suis rendu compte que j’avais bien marqué. C’est une belle sensation. Je suis très fier. Quand Juninho m’a passé le ballon, je voulais centrer mais j’ai changé d’avis. J’ai frappé fort. Ça ne m’arrive pas souvent de marquer. Je dédie ce but à mon fils, Leny, qui a seize mois.

Ce but, à l’image de votre début de saison, est un peu le symbole de votre retour au premier plan. En mai dernier, vous avez signé un nouveau contrat jusqu’en 2011. Recherchez-vous la stabilité ?
J’ai connu trois clubs : Rennes, où j’ai été formé, Valence, où j’ai passé six mois seulement, et Lyon. Si je suis à l’OL depuis cinq ans, c’est parce que c’est le meilleur club de France. J’ai longtemps réfléchi avant de prolonger. Presqu’une saison. C’était ma dernière année de contrat. J’avais deux options : rester sans resigner, et je m’attendais alors à une saison difficile, ou prolonger.

Auriez-vous pu attendre d’être libre ?
Il faut être sûr de jouer. On peut vite se retrouver à la cave. On peut aussi se blesser… Je ne voulais pas me retrouver dans la situation d’Itandje à Lens. Les clubs n’aiment pas trop avoir un joueur qui sera libre en janvier. Je l’ai ressenti dans certains choix la saison dernière.

Quitter l’OL vous a-t-il traversé l’esprit ?
La saison précédente, j’avais eu des contacts mais je ne voulais pas partir. J’ai pesé le pour et le contre. L’aspect sportif, la famille… Je voulais d’abord être certain dans ma tête de demeurer autant ambitieux qu’à mon arrivée.

A Lyon, tout est-il réuni pour votre épanouissement ?
(Rires) Après cinq ans, je fais partie des meubles ! Je connais les gens du club, l’entourage… J’ai de bonnes relations avec tout le monde.

Faire partie des meubles peut aussi entraîner une forme de routine…
J’ai galéré lors des deux dernières saisons. J’ai d’abord connu une blessure. La saison dernière, je jouais puis je jouais moins. C’était le yo-yo, peut-être à cause de l’incertitude sur mon avenir. Je ne prenais pas mon temps pour qu’un club arrive. A une période, je ne voulais pas resigner car je ne le sentais pas. Dès que j’ai pris ma décision, j’ai voulu que ça se fasse vite pour couper court aux rumeurs. Je ne voulais pas lire des articles du genre : « Réveillère sur le départ ».

Le changement d’entraîneur a-t-il pesé dans la balance ?
Quand j’ai signé, le nouvel entraîneur n’était pas nommé. Le plus important était que je reparte à fond pour retrouver ce que j’avais perdu la saison dernière. A des moments (il soupire), je lâchais un peu mentalement. Aujourd’hui, je suis bien dans ma tête et dans mes jambes. Tous les jours à l’entraînement, je reprends du plaisir à donner, à jouer, à gagner… J’ai retrouvé la flamme.

A l’avenir, seul un très grand club étranger peut vous faire quitter Lyon ?
La vie d’un joueur est faite d’opportunités. Il y a des offres qui font tourner la tête à tout le monde. Après Rennes, j’avais besoin de franchir un palier. J’avais choisi Valence. Après, j’ai rejoint Lyon. A l’heure actuelle, je ne pense pas à signer dans un autre club. Je viens de prolonger de quatre ans ! Mon objectif est de remplir les objectifs du club. Ensuite, des clubs arrivent car ils cherchent à des postes précis. C’est arrivé à Malouda, Abidal, Diarra… Ça fait partie de la vie d’un footballeur.

Au bout de cinq ans, quelle est votre place dans le groupe ?
Je suis un ancien. Quand les jeunes ou des nouveaux arrivent, je me comporte en relais. Mais je suis le genre de joueur qui fait le boulot. Je me bats sur le terrain. Quand il y avait des gars comme Djila Diarra, on parlait peu mais on pouvait s’insulter sur le terrain. C’était pour motiver l’autre. Quand l’un taclait, l’autre, même s’il était moins bien, avait envie de se déchirer. C’est ce qui fait la solidarité d’une équipe. Ce n’est pas forcément parler dans le vestiaire. C’est ma conception d’un leader. Je n’aboie pas.

Quand l’OL a connu une mauvaise passe, vous n’avez pas tapé du poing sur la table ?
Non. On a parlé tous ensemble. On était conscients des difficultés et de nos qualités. On a fait un début de saison diesel mais très honorable. Les critiques soudent le groupe. Moi, j’aime bien ! On était atteints avant Bordeaux (ndlr : 3-1, 10eme journée). Alors, on a mis les bouchées doubles. C’est la force mentale de notre groupe. On connaît notre valeur. Il faut agir et pas réagir.

L’OL est-il toujours aussi bien armé mentalement ?
Des Abidal, Malouda ou Caçapa sont partis mais l’état d’esprit est là. L’ambiance est toujours aussi bonne. Tous les jours, ça se voit. Dans les jeux, chacun veut gagner. On ne se la joue pas tranquille. On ne prend personne de haut.

Après vos deux saisons galères, avez-vous le sentiment que la donne a changé cette année ?
Oui… Ça se passe bien en ce moment. Depuis l’arrivée de François (ndlr : Clerc), il n’y a jamais eu de numéro un. Personne ne veut dire qu’il y a un titulaire.

Mais vous avez un peu d’avance depuis le début de la saison…
(Sourire malicieux) Un petit peu… Moi, je préfère enchaîner et disputer un maximum de rencontres. Mais il y a la concurrence dans un grand club.

Alain Perrin vous aligne parfois à gauche comme à Barcelone. Comment avez-vous vécu cette rencontre face à Lionel Messi ?
C’est un peu bizarre. Je suis polyvalent donc ça ne me dérange pas d’évoluer à gauche. Mon plaisir, c’est d’être sur le terrain. Messi a un toucher de balle exceptionnel. Il touche tellement le ballon que c’est dur d’intervenir. Il ne faut pas se jeter car il est très vif. Il a un centre de gravité bas donc il change de direction quand il veut. Il peut repiquer sur son pied gauche ou partir sur un côté. C’est un super joueur ! Il marque, il fait marquer, il est à l’origine de toutes les actions… Et puis, il bosse ! On voit ses attaques mais il défend beaucoup aussi. Il y a Messi mais c’est surtout le Barça qui est fort.

Sujet classique pour une interview d’Anthony Réveillère : l’équipe de France…
(Il éclate de rire) Le sujet tabou !


Appelé en A’ en août, on vous sent bleu sans l’être totalement. Quelle est votre position ?
Je ne sais pas. (Il rit encore) En A’, je rentre à gauche avant de passer à droite cinq minutes plus tard… C’est historie de dire qu’on est dans les 30-40 joueurs susceptibles d’aller à l’Euro. Je ne me prends pas la tête. Je joue avec Lyon, je m’entraîne et puis on verra. C’est grâce au club qu’on va en équipe de France mais aussi au sélectionneur…

Mais vous n’avez pas abandonné ?
Je fais mon truc. Je vais avoir 28 ans, j’ai de l’ambition. Mais je ne vais pas dire que je rêve de l’équipe de France. Ce n’est pas vrai. Je n’attends pas la liste le jeudi à 14h. Je m’en fous ! Il y a toujours quelqu’un pour m’envoyer un texto. Ça me donne l’occasion de couper quinze jours avec mon club et de profiter de ma famille. Je prends le positif. Avant, je me prenais la tête. Ça me bouffait un peu. Là, j’ai envie de foncer. Je ne me pose plus de questions. Je joue ? C’est bien. A gauche ? C’est bien aussi. Je suis heureux comme ça. C’est le Réveillère qui a resigné. Moins de prise de tête mais toujours beaucoup d’ambition.

Quand vous voyez Lassana Diarra aligné à droite…
Ça me fait sourire… Je suis dégoûté pour Sagna, un latéral de métier, qui reste sur le banc.

Régulier au très haut niveau, avez-vous le sentiment de ne pas être considéré à votre juste valeur ?
En équipe de France, latéral droit est le seul poste où il n’y a pas de logique ! Ce poste doit être incompris (sourire). Chimbonda était meilleur latéral droit d’Angleterre. Il va à la Coupe du Monde et on ne le revoit plus ! Avant la Coupe du Monde, j’ai eu le malheur de me blesser au mauvais moment.

Ultime question d’ordre privé : une jeune supportrice en fauteuil roulant est présente à l’entraînement chaque jour pour vous. Vous étiez son idole avant de devenir son ami. Racontez-nous cette relation…
C’est une longue histoire… Ma première année à l’OL a été difficile. Elle m’a toujours soutenu. Nous avons fait connaissance et nous avons bien accroché. Il y a eu un feeling. Je n’ai jamais regardé son handicap. Je la chambre et elle en rit. J’ai appris par la suite qu’elle me suivait depuis mes débuts à Rennes ! J’ai apprécié d’être son idole. Je lui apportais du bonheur. Je prends du temps avec elle mais pas parce qu’elle est en fauteuil. C’est un geste normal pour moi. Elle m’attend même sous la pluie après l’entraînement ! J’ai fait les démarches pour qu’elle puisse accéder chaque jour à l’entraînement. Aujourd’hui, je suis parrain avec Greg’ Coupet de son association.

Sport365

Très belle interview.

On voit que il y a un probleme avec l'EDF pas le seul, pourtant il joue comme aime bien dire Domé

Tous les joueurs qui osnt pas sélectionnés ont le même problème car ils vuelent tous jouer, je vois pas où est le problème.

Ba si :
Domenech répond à ceux qui se font désireux de joueur en EDF "Joué joué on verra après"

Anthony joue pas trop mal en ce moment? non!
Donc si on applique se que dit Raymond il devrait etre dans le groupe?

Bah oui mais y a pas que lui qui joue bien.

Eh bon Sagnol va revenir après.

Les doutes de Réveillère




Malgré un contrat courant jusqu’en 2011, Anthony Réveillère s’interrogerait sur son avenir chez les sextuples champions de France. L’arrière droit lyonnais pourrait ainsi quitter le Rhône… l’été prochain.

Depuis l’entame du Mercato, on parle beaucoup du Brésilien Fred ou du Tchèque Baros du côté de Tola-Vologe. Mais un autre joueur de l'Olympique Lyonnais s'interrogerait sur son avenir chez les sextuples champions de France : Anthony Réveillère. Il n'y a pas si longtemps, l'international français avait prolongé son contrat jusqu'en juin 2011. Mais aujourd'hui, l'ancien Rennais supporterait de moins en moins de partager son temps de jeu avec François Clerc (*). Ce dernier commencerait d’ailleurs à avoir les faveurs de Perrin.

Officiellement, la situation serait toujours plus ou moins au beau fixe. Mais officieusement, Anthony Réveillère, qui pourrait même être amené à dépanner sur le flanc gauche dans les prochaines semaines en raison du départ de Nadir Belhadj au Racing Club de Lens, serait en proie au doute. A vingt-huit ans, l'arrière droit rhodanien est à la croisée des chemins. Et le temps des concessions pourrait bientôt être révolu.

Des pistes en France et à l’étranger

Evidemment, un départ au Mercato apparaît improbable. Mais la donne pourrait être différente l'été prochain. Il faut dire que le défenseur lyonnais a toujours la cote sur le marché européen. En France, l'Olympique de Marseille le suivrait depuis de longs mois. Mais c'est surtout à l'étranger que son nom circulerait. En Italie, le Milan AC reste un fidèle admirateur du natif de Doué-la-Fontaine mais des « touchettes » existeraient également en Espagne et en Angleterre.

Bref, si Anthony Réveillère venait à prendre le taureau par les cornes, les solutions ne devraient pas venir à manquer. Depuis son arrivée dans le Rhône en juillet 2003, il s’est imposé comme l’un des spécialistes du poste au niveau européen. Pas suffisant pour s’installer durablement dans le groupe France (au contraire de… François Clerc) mais de quoi susciter plus d’une convoitise. La suite au prochain épisode.

(*) Anthony Réveillère a disputé 939 minutes de jeu depuis l’entame de la saison (10 titularisations) contre 976 pour François Clerc (10 titularisations)

Eh bien ! J'espère de tout coeur qu'il ne partira pas, Réveillère est vraiment un excellent latéral droit. S'il venait à partir, ça serait une énorme perte pour l'OL...

Reste avec nous Anthony.

Il ne va pas partir , je pense qu'il n'a quand même pas a se plaindre , les deux joueurs ont un temps de jeu un peu pres équivalent .

Oui il va certainement rester. De toute façon il a le temps de voir pour cet été. Mais comme le dis Steph, Clerc et lui ont un temps de jeu équivalent et il n'aura pas ça dans un autre club équivalent ou supérieur à l'OL !

Suspendu pour le match retour à Manchester, dommage mais bon il n'a pas beaucoup joué en LDC cette année...

C'est tres tres bete ce qui nous arrive pour le match retour parce qu'on a pas mal géré avec réveillère et clerc !!
Le coté droit était équilibré avec clerc un peu oplus offensif que d'habitude !!

Je sais pas comment perrin va s'organiser pour le match retour mais sans antho va falloir trouver des solutions

Bah a mon avis c'est facile ! Faut mettre la compo normal. Tu mets Clerc en défense et tu fais jouer Ben Arfa ! C'est sur que c'est dommage qu'il soit pas la au match retour. Il a fait un très beau match hier soir !

Je le sentais venir, c'est dur de ne pas s'énerver avec des joueurs aussi rapides en face.
Vraiment dommage toutefois parce qu'il a fait un beau match et qu'il est toujours très présent dans les grands rendez-vous.

Moi je propose que Réveillère porte un t-shirt 'Désolé mon Wendelou mais je t'aime" lors du prochain match à l'échauffement avec cette photo : http://www.girondins4ever.com/south_park/wendel.jpg

Très moche le tacle

Réveillère a appelé Wendel



La blessure à la cheville de Wendel contractée lors de la rencontre OL - Bordeaux pourrait être moins grave que prévu. C’est ce qu’a confié le Brésilien à Anthony Réveillère qui lui avait téléphoné pour prendre de ses nouvelles ce lundi après-midi. Le Bordelais espère retrouver les terrains d’ici deux à trois semaines.

Olweb

C'est bien que RVR l'ait appellé, il a une bonne mentalité.