[Président] Jean-Michel Aulas

Ouais enfin, le coté mégalo de jma on le connait.

Oui et notre président serait même schizophrène selon certaine rumeurs.
C'est assez risible ce genre de déclarations, surtout de la part d'un attaquant aussi lucide que Pauleta. "Son rêve secret est Paris" c'est pathétique

tu as la science infuse désolé je m'excuse

Lyon : Aulas voulait rembourser le PSG (08/12/2008)

Le président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas aurait écrit une lettre à son homologue du Paris SG, Charles Villeneuve, dans laquelle il lui proposait de rembourser la porte du Parc des Princes cassée par le milieu de terrain et capitaine Juninho après son exclusion, révèle le quotidien L'Equipe. Une proposition appréciée mais refusée.

maxifoot

Information pas tres interessante mais qui aura au moins le mérite de montrer que JMA peut aussi être gentil garçon

Sympa le JMA
Le PSG aussi d'un côté car il ont refusée la proposition .. Ce qui montre qu'il y a des bons liens entre les deux présidents.

Ha ouais pas mal Jean-Michel Aulas sur ce coup !!!

Ouais j'aime bien l'attention aussi, les relations entre Lyon et le PSG sont bonnes et ça nous le prouve encore.

Il voulait peut-être donner Fred en échange de la porte ?

Aulas : «Une alerte et un confort»

C'était soir de fête ce lundi à Lyon. Et les dirigeants étaient même invités. En marge de l'inauguration du site officiel de Karim Benzema, à laquelle assistait une grande partie des joueurs lyonnais et même Raymond Domenech, Jean-Michel Aulas a accepté de faire le point sur les dossiers chauds actuels de son équipe : ses résultats, son jeu, Puel... Revue de détail avec le président de l'OL.

Le sentiment sur les résultats (six points en six matches de L1, une seule victoire) :
« Ce Championnat va être ouvert avec non seulement Bordeaux, Rennes, Marseille ou le Paris-SG qui sont derrière. L'OL a les caractéristiques tant en qualité qu'en quantité de pouvoir faire face. J'ai la crainte de ce retour des équipes compétitives et aussi la sérénité car jusqu'à maintenant quand il a fallu réaliser des exploits dans les grands rendez-vous, l'OL a toujours répondu présent. Donc c'est en même temps une alerte et un confort pour l'avenir d'être amené à lutter. Dans la lutte, on a des joueurs qui ont une confiance forte. »

La situation nouvelle avec un seul point d'avance au classement :
« L'année dernière, on a gagné le titre lors du dernier match. C'est donc une situation qu'on connaît. Les trois premiers titres, il y a eu beaucoup de concurrence. Idem pour la Coupe de France l'an dernier. La difficulté n'est pas un handicap mais une motivation. Cela va au contraire permettre aux médias de revaloriser la performance de l'OL. C'est une chance qu'on puisse enfin mesurer le parcours de l'OL, qui vient de remporter 15 titres, toutes compétitions confondues, en dix ans. »

Le jeu :
« C'est vrai que certains matches sont moins flamboyants. Déjà l'année dernière, les débuts avaient suscité des reproches. Il y avait eu des déclics par la suite, comme le match à Glasgow (3-0) ou les deux matches contre Bordeaux (3-1 et 4-2). S'il devait y avoir une note qualitative, elle serait moins bonne que celle des années Houllier par exemple. Je me souviens aussi de l'année où l'équipe, entraînée par Jean Tigana, avait déployé un jeu brillant et formidable (en 1995). Au final, l'OL avait fini 2e derrière Nantes. Il ne faut pas s'arrêter derrière cette analyse qualitative. On joue moins bien mais on a encore plus envie de démontrer que, même en jouant moins bien, on a les qualités pour arriver au bout de nos idées. »

Puel recadré ?
« Non j'ai confiance dans les joueurs, j'ai confiance dans Claude Puel. Il n'y a pas de recadrage. Il y une analyse objective de la situation. Comme le disait Claude samedi, l'Inter Milan est en crise. Il vient de faire match nul contre Catane. Cette nouvelle concurrence a fait naître une nouvelle sorte de philosophie et de sérénité. On aura à se battre. On le savait depuis longtemps. Maintenant les médias le savent aussi et ça n'est pas pour nous déplaire. »

Le mercato :
« Il ne sera pas agité mais on va faire ce qu'on a à faire, comme chaque année depuis dix ans quand on a pris les bonnes décisions au moment où il fallait. Puel n'est pas pressé de recruter ? C'est confortable quand on est entraîneur de compter sur un groupe de 30 joueurs, dont une vingtaine d'internationaux et d'avoir la capacité d'en recruter deux ou trois autres. Le privilège de prendre ou de ne pas prendre est une capacité que n'ont pas beaucoup d'entraîneurs. C'est une grande qualité de Claude de ne pas recruter pour recruter, mais de recruter pour améliorer ce collectif. Et s'il ne recrute pas, on ne lui en voudra pas car on a confiance en lui. »

L'équipe.

Ce n'est pas un discours de crise , JMA se veut rassurant , espérons qu'il ait raison.

Aulas reste déterminé à la gagner

Mercredi après la défaite à Barcelone (2-5), Jean-Michel Aulas avait dressé un panorama si préoccupant de l'organisation du football français que les témoins avaient cru assister à la fin d'une ambition. JMA paraissait revenir sur l'objectif qu'il avait officialisé clairement avec l'arrivée de Claude Puel : gagner la Ligue des champions d'ici 2012. Cela semblait impossible à la lecture de son discours, mais les journalistes n'avaient pas eu le temps de lui poser formellement la question.

Joint samedi au téléphone, Jean-Michel Aulas nous a déclaré que celui lui serait effectivement «très, très difficile de gagner la Ligue des champions» à conditions de développement égales. «Il y a un tel écart que c'est difficile si on ne réforme pas. Mais cela reste vraiment notre volonté», nous a-t-il déclaré. «L'objectif a été fixé à Claude (Puel), mais c'est un travail d'équipe, a-t-il ensuite développé. Il faut que j'arrive, moi aussi, à convaincre nos dirigeants de nous donner les moyens de faire évoluer nos ressources, de pouvoir bâtir notre stade, de pouvoir faire des tournées à l'étranger, de nous donner les moyens d'investir dans les centres de formation avec une protection et des statuts.»

« Je démontre par l'absurde que mes idées sont les bonnes »
« Pour gagner la Ligue des champions, il y a des mesures à prendre, structurelles, qui ne dépendent ni de Puel ni de moi. La question que j'ai posée à Barcelone est simple : est-ce que les gens qui dirigent le football français et les hommes politiques veulent un football d'élite ? Sous réserve que la réponse soit oui, j'ai donné des pistes. Je veux bien être le bouc-émissaire et qu'on tape sur Aulas. Mais j'ai l'impression de démontrer par l'absurde, avec ces éliminations qui se répètent, que mes idées sont les bonnes. Je me retrouve à me battre contre mes propres dirigeants. Je dois les convaincre au jour le jour de mettre leurs actes en relation avec leur discours.»

Sur le projet OL Land, le patron de l'OL a «vu des hommes politiques en début de semaine pour faire avancer les choses», misant notamment sur une loi qui serait votée dans la perspective de l'Euro 2016. L'autre pilier de son combat reste les droits TV, qui ne laissent guère espérer à Lyon plus de 45 millions d'euros annuels contre 150 ou plus pour le Barça et le Real Madrid, par exemple. L'interlocuteur privilégié de Jean-Michel Aulas est ici Frédéric Thiriez, président de la LFP, obsédé par l'idée de voir les clubs français briller en C1 mais... architecte d'une redistribution des droits TV que le patron de l'OL juge dépassée. «Gagner la C1 sera possible si le LFP décide, de manière courageuse, de déplafonner le nombre de diffusions par club et de laisser la liberté aux opérateurs de choisir les clubs qu'ils souhaitent diffuser, et de donner ensuite l'argent à ceux qui sont diffusés. Réduisons la L1 à dix-huit, cela ferait 12% de ressources en plus par club. Rendons plus inégalitaire la répartition des droits TV. Quand je dis ça, ça fait bondir tout le monde et c'est normal. Mais on continuera de perdre contre des équipes plus fortes que nous si rien ne bouge.»

source: l'équipe.fr

Il est pas découragé longtemps le JMA lol

Article sur JMA dans le Journal du Dimanche :
http://www.lejdd.fr/cmc/sport/200916/aulas-prend-du-recul-lyon-aussi_202990.html

Aulas, droit dans ses bottes

«A Bordeaux, cela s'est joué sur trois fois rien. Bon d'accord, il s'appelait M. Bré et non pas trois fois rien. » Au cas où on ne l'aurait pas encore compris, Jean-Michel Aulas n'a vraiment pas digéré les deux penalties dont aurait pu bénéficier l'OL, dimanche, à Bordeaux (0-1). Mais cela ne l'empêche pas de rester optimiste, comme il l'a démontré dans une interview accordée au Progrès, mardi. « Tant que nous sommes dans les points pour ce huitième titre, il faut vouloir aller le chercher, a affirmé JMA. Il reste un coup à jouer. Si ce titre est conquis dans la difficulté, cela provoquera une joie immense à Lyon. »


Sans C1, un trou de « 20 à 25 millions »
Et même s'il venait à échapper à l'OL, ou, pire, si son équipe ne terminait pas dans les trois premières du Championnat, Jean-Michel Aulas assure que ce ne sera pas une catastrophe économique, bien qu'il aurait à gérer « un écart de 20 à 25 millions d'euros » dans le budget du club. « Cela serait juste plus difficile d'attirer des joueurs de très haut niveau », reconnaît simplement le président lyonnais.

« Je bénis le ciel d'avoir choisi Puel »
Enfin, s'il y a bien une chose que Jean-Michel Aulas ne regrette pas, c'est d'avoir engagé Claude Puel l'été dernier : « C'était l'homme idoine à l'époque. Je bénis le ciel de l'avoir choisi sur proposition de Bernard Lacombe. Si nous ne gagnons rien cette saison, ce ne sera pas de la responsabilité de Puel. C'est l'an prochain que l'on saura ce qu'il peut apporter. Si nous avions fait une seconde année avec Alain Perrin, le groupe aurait explosé. Parfois, il n'y a pas que le résultat qui compte. » Vous avez dit résigné ?

France Football

Il n'en pense pas un mot quand il envisage une non qualification pour le LDC. C'est un gagnant mais c'est juste pour protéger Puel qu'il dit tout ça.

Toute façon , c'est un projet sur quatre ans, on verra bien au final .....

« C'est à la fin du bal qu'on paie les musiciens »

Le président de l'OL témoigne pour Le Progrès, de son ambition intacte malgré les difficultés actuelles de son équipe. Il veut toujours gagner le titre !

Au lendemain d'une défaite à Bordeaux qui a fait glisser l'OL sur la troisième marche du podium, Jean-Michel Aulas a accepté pour notre journal, de répondre à une situation qu'il juge décevante, mais pas alarmante. Il donne rendez-vous aux Lyonnais pour le très important match contre le PSG vendredi à Gerland, et réaffirme que le titre reste son objectif numéro un. On peut croire sur parole le président de l'OL, ou estimer qu'en cet instant stratégique de la saison, il est entré en politique, mais son discours n'en reste pas moins percutant et savoureux.

Quel regard posez-vous sur le classement du jour ?

Ayons l'humilité de reconnaître que l'on aurait sauté de joie vingt ans plus tôt, pour figurer à cette place, et qu'on sauterait de joie aussi dans la Loire si l'ASSE était 3ème. Je veux pondérer la déception et le pessimisme ambiants. Je suis moi aussi déçu mais j'analyse le caractère exceptionnel des sept saisons précédentes et même de celle-ci. Nos chances d'être champion ont certes fortement baissé, mais c'est à la fin du bal qu'on paie les musiciens. La lecture du classement dimanche prochain sera différente si l'on bat le PSG et si Marseille perd à Lille, sachant que Bordeaux jouera la finale de la Coupe de la Ligue et pas son match de championnat à Rennes.

La priorité, désormais, c'est d'assurer une qualification en Ligue des Champions ?

Tant que nous sommes dans les points pour ce huitième titre, il faut vouloir aller le chercher. Notre période de suprématie a été tellement longue qu'elle a suscité des jalousies malsaines. A-t-on perdu définitivement le championnat? Je ne le pense pas. Il reste un coup à jouer, si ce titre est conquis dans la difficulté, cela provoquera une joie immense à Lyon.

Votre conviction ne va-t-elle pas à contre-courant d'une dynamique qui n'est plus lyonnaise ?

La dynamique vient de la plume des journalistes. Si on évoque une spirale négative, on l'alimente, cela joue sur la confiance des joueurs. L'embellie médiatique est autour de l'OM, qui n'a plus rien gagné depuis quinze ans, et de Bordeaux, qui a un peu plus gagné. C'était une anomalie, idem pour Paris.

Mais l'OL avait plus de répondant auparavant.

A Bordeaux, ça s'est joué à trois fois rien. Bon d'accord, il s'appelait M. Bré, et non pas trois fois rien...

Vous songez au penalty refusé à Ederson ?

J'ai salué la victoire des Bordelais comme il se doit, mais il y avait un penalty en notre faveur et même un deuxième sur un coup franc de Juninho repoussé du bras par Chamakh. Cela pouvait inverser les choses, au cours de nos très bonnes vingt-cinq premières minutes. Je ne remets pas en cause l'arbitre, l'un des meilleurs Français, il peut se tromper et je l'accepte. Ce que je n'accepte pas en revanche, ce sont les propos de M. Legarda, le président du Mans, qui a laissé suspecter que l'on influence les arbitres. Inconsciemment, cela crée le doute.

Gardez-vous la foi en votre équipe ?

Ma confiance reste intacte, je ne suis ni mauvais perdant, ni abattu. Vendredi le match face au PSG va tomber à pic. Si les joueurs sont ce qu'ils valent, et s'ils ont le mental qui était le leur à Bordeaux, alors je ne peux qu'y croire.

Honnêtement, ne vous êtes-vous jamais ennuyé cette saison à Gerland ?

Non, parce que je vis les matches avec le cœur. Si je lis un bouquin qui ne me plaît pas, si je vais voir un mauvais film au cinéma, ou m'arrêter sur une nature morte dans un musée, je m'ennuie, mais pas à Gerland. Par respect pour les joueurs, l'entraîneur, le jeu, c'est tout à fait impossible. C'est vrai qu'on ne joue pas des matches pleins, que tout n'est pas parfait, mais quand on met de l'intensité, on peut gagner aussi en qualité et en confiance.

Que coûterait à l'OL la perte du titre ?

Comme on est des gens qui savent ce qu'ils font, dans la gestion des primes notamment, finir la saison à la 2e ou 3e place, ne coûterait rien, en net, au club. Mais une non-qualification en Ligue des Champions, c'est un écart de 20 à 25 millions. Cela dit, même 7e, l'OL fera face. Ce sera juste plus difficile d'attirer des joueurs de très haut niveau.

Justement, le recrutement laisse perplexe.

Je veux le défendre, me démarquer de qui se dit et qui est du ressort du café du commerce. Ederson nous a été conseillé par Juninho dans une optique de succession. On l'a payé un peu cher, mais on n'a jamais imaginé une première saison fantastique. Même chose pour Pjanic, qui est très jeune. On a fait venir Piquionne pour mettre la pression sur Fr€d, qui n'était pas fiable du tout. Sa première saison n'est pas bonne, mais c'est à lui de se surmotiver. Makoun ne réalise pas une super-saison, mais on compte sur lui. On a découvert un problème de préparation physique pour Mensah et sa saison est gâchée par un incident et les blessures. Lloris? On ne s'est pas trompé. Il y a eu peut-être trop de changements, mais la prochaine saison sera meilleure.

Claude Puel est-il l'homme de la situation ?

C'était l'homme idoine à l'époque, et aujourd'hui je bénis le ciel de l'avoir choisi sur proposition de Bernard Lacombe. Il a déjà beaucoup modifié le club, les structures. Si Lille réussit bien aujourd'hui, ce n'est pas dû essentiellement au nouvel entraîneur quand même! Si on ne gagne rien cette saison, ce ne sera pas de la responsabilité de Claude Puel. C'est l'an prochain que l'on saura ce qu'il peut apporter. J'ajouterai que si on avait effectué une seconde année avec Alain Perrin, le groupe aurait explosé. Parfois, il n'y a pas que le résultat qui compte.

Le Progrès


Interview entière, le passage sur le recrutement est intéressant. Bref, désolé de ne pas avoir trouvé celui là avant celui de France Football !

j'aime beaucoup le passage sur le recrutement, dommage de donné les explication en fin de saison ........

Ouais le passage sur le mercato est très instructif.

Oé c est sur il explique bien mais il n y as pas un joueur recruté qui joue a son poste , certe les blessures ne laisse pas le choix mais le constat reste le meme, il ya un gros travail de recrutement cet été a faire ,les joueurs ne sont pas mauvais du tout et il peuvent sortir de tres bon match mais il ya certain poste pauvre en joueur!

il a beau dire que meme en etant 7eme ca couterait rien j en suis pas si sur , il fait quand meme ces plans financiers grace a la LDC!

Il faut dire que le discours : "On va avoir des très bon joueurs l'année prochaine" ça fait six, sept ans qui nous le dit !
Après j'ai bien aimé sa franchise comme quoi Piquionne t Makoun ne faisaient pas une super saison.

Moi qui ai connu Anderson dans les années d'or, maintenant on a Fr€d et Piquionne et on gobe les morts





Que JMA nous ressorte pas que Trezeguet va venir ou que Eto'o aurait pu signer pitié. C'est bien beau d'annoncer du lourd mais maintenant il faut vraiment recruter.

Foot - L1 - Lyon - Aulas, le bilan avant l'heure

Ce n'est pas encore le temps des règlements de compte à Lyon, mais on s'en approche. Troisième du Championnat derrière Marseille et Bordeaux, l'OL n'est plus aussi dominateur que par le passé. Une situation que son président Jean-Michel Aulas prend avec philosophie, mais avec quand même une pointe d'amertume.

Si contrairement à son habitude, il ne s'est pas répandu dans les médias après la défaite de Lyon dimanche contre les Girondins (0-1), alors qu'un penalty a été oublié pour son équipe, JMA a en revanche accordé une longue interview mardi au Progrès. Dans celle-ci, Aulas a certes confié son optimisme quant à la possibilité de décrocher un huitième sacre d'affilée. «Ma confiance reste intacte, a-t-il déclaré. Tant que nous sommes dans les points, il faut vouloir aller le chercher.» Mais il a surtout exprimé quelques regrets, sur le recrutement estival notamment. «Peut-être y a-t-il eu trop de changement», a-t-il reconnu.

Perrin n'est pas épargné

Et chacun a pris pour son grade. «Ederson ? Il nous a été conseillé par Juninho, on l'a payé un peu cher, mais on n'avait jamais imaginé une première saison fantastique de sa part. Makoun ? Il ne réalise pas une super saison, mais on compte sur lui. Mensah ? Sa saison est gâchée par un incident et des blessures, mais on a découvert un problème de préparation physique le concernant.» A l'entendre, sa seule satisfaction est d'avoir confié les rênes de l'équipe première à Claude Puel. «C'était l'homme idoine à l'époque, et aujourd'hui, je bénis le ciel de l'avoir choisi.» Concernant Alain Perrin, Aulas ne s'est pas montré tendre : «Si on avait effectué une seconde année avec lui, le groupe aurait explosé.»

L'équipe

C'est exactement la même chose que ce que j'ai posté plus haut Ant !

Effectivement L'équipe est en retard. Désolé.