Consommez Français, Consommez Lyonnais !

Création
1863 (6 juillet) - Fondation de la société à Lyon.
1870 - Ouverture de la première agence hors de France : à Londres.
1876 - 1913 - Construction progressive de la succursale parisienne qui deviendra le siège central.
1880 - Le Crédit lyonnais occupe le premier rang des banques françaises avec 23 agences à Paris et des succursales à Londres, Genève, Constantinople et Alexandrie.
1882 - Transfert officiel de la direction du Crédit lyonnais du siège social à Lyon vers le siège central à Paris.
1900 - La banque occupe le premier rang mondial par le total de bilan



Nationalisation
1946 - Nationalisation



Slogans
Le pouvoir de dire oui (début des années 1990)
Votre banque vous doit des comptes (1994)
Nous vous devions une nouvelle banque
Aujourd'hui, qui peut se passer d'une bonne banque ? (2003)
Demandez plus à votre argent (2005)




Histoire récente:

Grosses difficultés et incendie du siège central parisien [modifier]
1993 - Quasi-faillite notamment à cause d'investissements massifs (dont ceux faits par le truchement d'une filiale aux Pays-Bas perdus dans la Metro-Goldwyn-Mayer). Un rapport parlementaire dénonce le système des avances et prêts à risques faits aux spéculateurs, notamment dans le domaine immobilier, qui anticipaient la plus-value envisagée sur ces opérations immobilières. L'affaire du Crédit lyonnais a mis en valeur certaines des causes financières de la crise du logement liées à l'utilisation de crédits publics dans cette spéculation. Le montant des pertes (130 milliards de francs) en ont fait l'un des scandales financiers de l'histoire, au même titre que l'affaire du canal de Panama. Ce scandale a touché également plusieurs filiales du Crédit lyonnais (CLBN, Société de banque occidentale (SDBO), IBSA, Altus Finance).
5 mai 1996 - Incendie du siège central parisien, le siège social est à Lyon. Le Crédit lyonnais sauve toutefois ses activités de marché grâce à une salle de marché de secours prête à fonctionner. Doutes sur le caractère accidentel de l'accident, en particulier du fait des multiples foyers et de l'incendie au Havre d'une partie des archives du groupe.
2005 - Le Consortium de réalisation (CDR), héritier du passif de la banque, accepte de payer 525 millions de dollars au département des Assurances de Californie pour mettre fin aux poursuites judiciaires dans le cadre de l'affaire Executive Life. Cette compagnie d'assurances américaine, au bord de la faillite, avait été rachetée dans les années 90 par la MAAF grâce à un financement du Crédit Lyonnais, mais la justice américaine considère que la mutuelle n'était qu'un prête-nom pour la banque, or, à cette époque, il était interdit pour une banque d'acquérir une compagnie d'assurance américaine.




Privatisation

ancien logo du Crédit lyonnais1999 - Privatisation après recapitalisation. Suite à cette privatisation, l'État conserve des parts du capital et met en place un "Groupement d'actionnaires partenaires" (GAP) pour assurer pendant quelques temps l'indépendance de la banque. Les plus gros actionnaires seront le Crédit agricole, Axa et Allianz, notamment via les AGF
2003 - Après un achat surprise par BNP Paribas du capital du groupe encore détenus par l'État, le groupe Crédit agricole SA se décide tardivement à prendre le contrôle du Crédit lyonnais, fusionnant la partie banque d'entreprise (BFI) avec Indosuez de la banque verte pour former Calyon et la société de gestion CLAM (société de gestion la plus récompensée d'Europe) avec CAAM.
29 août 2005 : Le Crédit lyonnais, précédemment abrégé couramment en CL change ses identités de communication et visuelles et devient LCL avec un nouveau logo.

Partenariat
LCL est partenaire du Tour de France




http://www.lcl.com/

La branche pharmaceutique a fusionné en décembre 1999 avec plusieurs entreprises, dont l'allemande Hoechst, pour former le groupe Aventis. Ce dernier a été lui-même absorbé en 2004 par Sanofi-Synthélabo, pour former Sanofi Aventis.
La branche agrochimie, devenue Aventis CropScience a été vendue au groupe Bayer en 2002.
La branche chimie est devenue Rhodia.
Avant sa fusion, les activités de Rhône-Poulenc se répartissaient en quatre grands secteurs :

pharmacie,
santé animale,
phytopharmacie (insecticides, fongicides),
chimie, notamment fibres et polymères.
On doit notamment à Rhône-Poulenc la découverte et le lancement du fipronil, matière active aujourd'hui controversée de certains insecticides comme le Régent.

Son dernier président fut Jean-René Fourtou qui fut le maître d'œuvre de la fusion avec Hoechst après avoir fortement réorienté le groupe vers la pharmacie au détriment de la chimie.



http://www.rhodia.com/

Histoire
Profitant de la mise en place du Plan Comptable Général imposant l'utilisation de numéros de comptes déterminés, l'entreprise s'est initialement développée en proposant aux experts comptables des progiciels de gestion standardisés.

CEGID a rapidement étendu son offre à destination des entreprises (Très Petites Entreprises et Petites et Moyennes Entreprises) en proposant une gamme de produits allant de la gestion commerciale à la comptabilité, en passant par la paie.

Une succession d'acquisitions ont ensuite permis au groupe d'étendre son offre à des secteurs d'activité particuliers. On parle dans ce cas de progiciels "verticaux" par opposition aux progiciels "horizontaux" identiques quel que soit le métier de l'entreprise cliente. L'offre comprend donc des progiciels disposant de fonctionnalités spécifiques destinés aux entreprises de prêt à porter (gestion de production, de logistique et d'encaissement en boutiques), aux hôtels, traiteurs et restaurants, aux entreprises du BTP etc.

C'est en 2004 qu'a lieu la plus importante acquisition du groupe : CEGID rachète son principal concurrent sur le marché des experts comptables : la société CCMX (800 salariés). Le nouveau groupe, qui détient alors environ 70% de part de marché, est attaqué en 2005 par le groupe FIDUCIAL, opérant sur le même marché, et qui dénonce la validité de cette acquisition. Le dossier a été arbitré par le Conseil d'État qui a confirmé en février 2006 la décision de la DGCCRF qui avait, à l'époque, autorisé l'opération financière.

Société sise à Lyon, Rhône, Rhône-Alpes, France.



Métiers
Le groupe compabilise en 2004 un Chiffre d'Affaires proforma de 223 M€ et compte environ 2000 salariés, ce qui en fait le premier éditeur français de solutions informatiques à destination des PME.


Données boursières
Actions cotées à la bourse de Paris
Membre de l'indice CAC Small 90
Code Valeur ISIN = FR0000124703


http://www.cegid.fr/

HISTOIRE

1894-1909 : L'ère des pionniers
A Lyon, Marius Berliet conçoit et réalise en 1894 un moteur monocylindre puis construit sa première voiture à pétrole. En 1906, il construit son premier camion.

A Billancourt, à côté de Paris, Louis Renault met au point en 1898 une boîte de vitesses à quatre rapports puis sort sa première automobile, une voiturette Œ de cheval. Il produit le premier véhicule utilitaire autotracté dès 1900 et invente, en 1906, l'ancêtre de l'autobus pour la ville de Paris.




1914-1918 : les premières productions de masse
Chez Berliet, 40 camions CBA sont fabriqués chaque jour pour rejoindre les véhicules qui affluent vers le front de Verdun. Chez Renault, les 600 taxis qui contribuent à la victoire de la Marne font passer Renault à la postérité.
En 1917, la marque au losange construit le premier char moderne de l'histoire. Le premier camion 4x4 est construit par Latil. C'est la suite logique du train avant motorisé en 1898.


1919-1928 : se diversifier pour être pérenne
Louis Renault et Marius Berliet, industriels de génie, bâtissent leur groupe automobile. Berliet participe également à la fabrication du char Renault FT 17 commandé par le gouvernement français.

En 1923, Renault est la première marque à proposer un tracteur routier. Cette même année, des véhicules équipés de gazogènes au bois et le premier tracteur routier doté d'un servofrein agissant sur les quatre roues, font leur apparition. En 1928, le premier moteur diesel est monté sur un camion.


1952-1978 : les étapes de la construction d'un groupe
Entre 1952 et 1974, Laffly, Rochet Schneider, Camiva et Citroën Poids Lourds s'associent à Berliet qui, en 1957, construit le Berliet T100, le plus gros camion au monde !
En 1955, naît la Saviem, issue de Latil, du département camions Renault et Somua, très vite rejoint par Richard Continental, en 1965, puis Sinpar, en 1975.
C'est en 1978 que Berliet et la Saviem fusionnent pour créer l'unique constructeur français de poids-lourds Renault Véhicules Industriels, la branche "Véhicules Industriels" du groupe Renault.


Depuis 1983 - vers la première place mondiale
Renault Véhicules Industriels poursuit la constitution d'un puissant groupe international avec l'acquisition de Dodge Europe en 1983 puis de la légendaire marque américaine Mack en 1990.
L'année 1992 est une nouvelle étape importante : Renault Véhicules Industriels devient Renault V.I. En 2001, Renault V.I. intègre le groupe Volvo. Et en 2002, elle prend la dénomination commerciale internationale "Renault Trucks".



http://www.renault-trucks.fr/

En 1824, une fabrique de pâtes alimentaires voit le jour à Grenoble. Près d’un siècle plus tard, l’entreprise en pleine prospérité, pressent l’importance de personnaliser ses produits et organise un concours entre les plus grands illustrateurs de l’époque : Forain, Poulbot, Synave, Carlège, Morin, Truchet, pour ne citer que les plus connus.

Parmi plus de 300 envois, le projet Synave est retenu. Il représente une boîte de pâtes alimentaires décorée d’un damier bleu et blanc. C’est raconte-t-on lors de la remise des prix au restaurant Ledoyen, que, dans l’euphorie générale, Forain lance le nom de Lustucru, personnage de fantaisie issu de la culture populaire française. Forain dessine également la silhouette joviale du Pèr’Lustucru qui va personnaliser la marque durant de nombreuses années.

C’est ainsi que LUSTUCRU naît en 1911 pour entrer dans la légende. Le damier devient aussitôt le symbole de la marque et fait l’objet d’un dépôt international…

Synave, Dransy, Rudd, Paul Mohr, Capiello, Farcy… Les plus grands affichistes illustrent la marque, de précieuses créations qui vont nourrir son patrimoine culturel.

Arkema est une entreprise chimique française créée en octobre 2004 par le groupe pétrolier français Total pour y isoler une partie de ses activités chimiques (produits vinyliques, chimie industrielle et produits de performance) dans le cadre d'une stratégie de recentrage du groupe Total sur l'énergie. Arkema est une entreprise cotée sur le marché depuis mai 2006 par le biais d'un spin-off. Elle est actuellement présidée par Thierry Le Hénaff.

Son chiffre d'affaires 2005 a été de 5,7 milliards d'euros. Le groupe emploie 18 400 personnes dans 40 pays. Il possède 90 sites de production et 6 centres de recherche, dont 4 en France. Il occupe une position parmi les leaders mondiaux dans le domaine des composés fluorés, de l'eau oxygénée, des peroxydes et des acryliques.

Dans les produits de performance, cette entreprise fabrique un polymère d'origine végétale, le Rilsan (Polyamide 11).

http://www.arkemagroup.com/

BioMérieux est une entreprise française spécialisée dans le diagnostic in vitro.





La société
Société mondiale dans le domaine du diagnostic in vitro depuis plus de 40 ans, bioMérieux offre des solutions de diagnostic (réactifs, instruments et logiciels) qui déterminent la source d’une maladie ou d’une contamination pour améliorer la santé des patients et assurer la sécurité des consommateurs. Ses produits sont utilisés dans le diagnostic des maladies infectieuses utilisés pour les urgences cardiovasculaires, le dépistage et le suivi des cancers ainsi que pour la détection de micro-organismes dans les produits agroalimentaires, pharmaceutiques et cosmétiques.

La société est présente dans plus de 150 pays au travers de filiales et d'un large réseau de distributeurs. La société est cotée sur Euronext Paris avec un chiffre d’affaires de plus d’un milliard d’euros par an.





Histoire
La famille Mérieux a plus d’un siècle d’expérience en biologie et développement de tests de diagnostic in vitro. Marcel Mérieux, grand-père d’Alain Mérieux, actuel Président de bioMérieux, fut l’élève de Louis Pasteur. En 1897, il fonda un laboratoire d'analyses médicales à Lyon qui devint le prestigieux Institut Mérieux. C’est dans ce laboratoire que Marcel Mérieux développa les premiers sérums antitétaniques.

En 1937, le fils de Marcel Mérieux, le Docteur Charles Mérieux, prit les rênes du laboratoire au décès de son père. Dans le courant des années 40, il introduisit une technique développée par le hollandais Frenkel – la culture in vitro - qui révolutionna la fabrication des vaccins et conduit à la production de réactifs pour les tests de diagnostic in vitro.

En 1963, Alain Mérieux créa BD Mérieux, détenue à parts égales entre l’Institut Mérieux et Becton Dickinson, offrant une large gamme de produits pour laboratoires d’analyses médicales. Lorsqu’Alain Mérieux devint, en 1974, actionnaire majoritaire de BD Mérieux, la société prit le nom de bioMérieux.

Au cours de ces 40 dernières années, bioMérieux est devenu un groupe mondial leader dans le domaine du diagnostic in vitro. La lutte contre les maladies infectieuses constitue le cœur de sa stratégie de développement et demeure la mission première du groupe.


Etapes clés
1897 : Marcel Mérieux crée l’Institut Mérieux, qui développe une large gamme de vaccins et de produits biologiques, dont des réactifs.
Alain Mérieux en assure la présidence pendant 25 ans, jusqu’en 1994.

1963 : Création de BD Mérieux, détenue à parts égales par l’Institut Mérieux et Becton Dickinson.
1974 : Alain Mérieux prend le contrôle majoritaire de la société : BD Mérieux devient bioMérieux.
1986 : Acquisition de API Systems (La Balme - France).
1988 : Acquisition de VITEK (Mc Donnel Douglas).
1996 : Premières collaborations en recherche avec Affymetrix.
2001 : Acquisition d’Organon Teknika Diagnostic (Akzo Nobel).
2003 : 40ème anniversaire : alliance stratégique avec Cepheid et IDI.
2004 : Introduction de bioMérieux sur le marché Euronext de Paris.
2006 : Inauguration du Centre Christophe Mérieux, spécialisé dans la Recherche et Développement en Biologie Moléculaire et Micro-systèmes (Grenoble – France)

Activités Le diagnostic clinique :
Réaliser un diagnostic in vitro, c’est effectuer une analyse sur un prélèvement biologique (urines, salive, sang…) afin de détecter la présence d’agents pathogènes (bactérie, virus…) ou de substances sécrétées par le corps en réponse à la présence d’une maladie infectieuse, cardiaque ou d’un cancer, de les caractériser et de les quantifier. De la qualité de l’analyse biologique dépend donc la pertinence de la décision du médecin quant à la prise en charge thérapeutique du patient.



Au-delà de cette décision, le diagnostic in vitro intervient également dans le suivi de la prise en charge des patients en évaluant les réponses au traitement (mesure de la charge virale, identification des résistances aux traitements…), et permet ainsi aux équipes médicales d’intervenir plus finement dans le suivi thérapeutique. Le diagnostic in vitro constitue un élément clé dans la prise de décision des professionnels de santé.

La microbiologie industrielle :
Une analyse effectuée sur un échantillon (aliment, air, additif…) permettra à un industriel de contrôler et d’attester de la qualité de sa production, de la matière 1ère au produit fini en passant par son environnement de fabrication. Un atout majeur dans un monde où le consommateur est chaque jour plus exigeant en matière de sécurité sanitaire, alimentaire et environnementale.










http://www.biomerieux.com/servlet/srt/bio/portail/home

La "Lyonnaise de Banque" renoue avec son berceau historique
Ouverture d'une nouvelle agence "Rue de la République", nouveau siège social pour 2006

La nouvelle agence de la Lyonnaise de Banque occupe le rez-de-chaussée d’un immeuble classé, situé en plein cœur d’un des quartiers les plus prestigieux de l’agglomération (rue de la République).

Les autres étages des quatre batiments reliés par des cours intérieurs seront réinvestis progressivement par les équipes du siège, pour une inauguration prévue le 6 juillet 2006.

Cent ans après sa création, la banque lyonnaise réaménage donc ce qui fut son berceau et réalise du même coup une belle opération patrimoniale dans un des secteurs les plus côté de la Presqu’île.

Les travaux lancé en décembre 2003 ont nécessité un investissement de 25 millions d’euros pour une surface de 10 000 m².

Cette rénovation a eu pour objectif de renforcer l'image de proximité de la banque et de confirmer sa présence sur l'agglomération (la Lyonnaise de Banque occupe les locaux depuis 1906). Les nouveaux locaux (10 000 m² dont 300m² de surface disponible) permettront d'accueillir 470 personnes.

Le projet comprenait des opérations de restructuration lourde, de démolition-reconstruction et de réhabilitation.




Les chiffres clefs

La Lyonnaise de Banque (Groupe Crédit Industriel et Commercial, 4ème banque de France) c'est :

422 agences,
4 380 salariés,
472 DAB,
1ère banque d’investissement en région avec la Banque de Vizille (banque d’affaires de la Lyonnaise de Banque).



Un ancrage fort sur l'agglomération

Le groupe "Lyonnaise de Banque" tient un rôle important dans le tissu économique local. Sur sa zone d'activité, "une grande entreprise sur 2 et une PME-PMI sur 3 sont clientes de la Lyonnaise de Banque", selon son PDG, Rémy Weber.
La Lyonnaise de Banque s'implique localement avec les associations de commerçants, participe avec l'Ordre des experts-comptables aux "Ateliers du Futur" (sur les évolutions technologiques de la profession). La banque est également présente au Forum médical de Lyon et aux salons nationaux du Medec et de Pharmagora, où sa filiale Solyphar anime un séminaire.
La Lyonnaise de Banque a créé un Club LB International, spécialisé dans l'accompagnement des entreprises à l'international. En 2001, ce club comptait plus de 700 entreprises adhérentes et a organisé une centaine de missions commerciales dans 27 pays.
Par ailleurs, la Banque de Vizille est la première banque d'affaires en région Rhône-Alpes. Depuis sa création en 1988, la Banque de Vizille a réalisé des investissements cumulés de 526 millions d'euros dans plus de 500 sociétés. Elle dispose en 2004 d’un portefeuille brut supérieur à 250 M€.




https://www.cic.fr/fr/

La Lyonnaise des eaux, aujourd'hui partie intégrante du groupe Suez Environnement, a été créée en 1880 par le Crédit lyonnais. Le succès boursier de la Compagnie générale des eaux dès 1853, avait permis la création, par décret impérial, le 14 mai 1854, de la banque Société générale. Le Crédit lyonnais ne pouvant être en reste a donc créé la Société Lyonnaise des Eaux au capital de 50 millions de francs (souscrits à 60 % par la banque).Elle signe dans le même temps ses 2 premiers contrats de distribution d'eau potable qui sont : Cannes et 15 jours après Maromme(en Normandie près de Rouen). Ces 2 contrats sont toujours d'actualité et ont aujourd'hui 126 ans.


Intégrité publique
Longtemps dirigée par Jérôme Monod, rédacteur des statuts du RPR puis de l'UMP, la Lyonnaise des Eaux a été impliquée dans plusieurs affaires politico-financières comme l'affaire Maillard et Duclos, l'affaire Carignon et l'affaire des HLM de Paris.








http://www.lyonnaise-des-eaux.fr/

Les Laboratoires Boiron sont une entreprise pharmaceutique homéopathique française qui fabrique et distribue ses produits.



Boiron possède actuellement 36 établissement de distribution en France métropolitaine et 18 filiales à l'Outre Mer ou à l'étranger.





NDF : J'ai visité les entrepôts à Messimy dans le cadre de ma formation en DUT Logistique.