Coupe de la Ligue (2011/2012)

Merci pour la précision.

Souvenirs de finales de Coupe de la Ligue

Ces Lyonnais d’hier et d’aujourd’hui ont disputé au moins une finale de Coupe de la Ligue dans leur carrière, à l’OL ou ailleurs, que ce soit en jouant ou dans un autre costume (entraineur, préparateur physique…).

Robert Duverne (finale perdue en 96 face au FC Metz, finale remportée en 2001 contre l’AS Monaco 2 à 1 et perdue 1 à 0 contre les Girondins Bordeaux en 2007)

« En 96, on l’a gagnée, mais on n’est pas allé chercher le trophée (en souriant). C’est aussi ma première expérience des tirs au but. Une grosse déception. En 2001, tout simplement magnifique. Enfin un trophée. Une explosion de joie. Un exploit. Une vraie performance qui couronne une grande épopée. En 2007, c’est une grosse déception car on avait maitrisé la première période. Après, Juninho avait été rapidement blessé. Bordeaux avait fait une réorganisation tactique et nous au moment où on allait le faire, on prend ce but ; Un véritable coup de poignard. La déception, elle est différente car l’OL à cette époque était champion de France tous les ans. Alors elle passe plus facilement, parce que le lendemain, on est sur autre chose. Cette Coupe de la Ligue, c’était un plus ; la possibilité de faire un doublé ».

Mathieu Valverde (finale remportée avec les Girondins Bordeaux face à Vannes 4 à 0)

« En 2009, on avait réalisé le doublé Championnat-Coupe de la Ligue avec les Girondins Bordeaux. Une saison exceptionnelle. Une finale au Stade de France, c’est toujours important, un aboutissement. Cela avait été une belle aventure pour l’ensemble du club qui était monté à Paris. J’avais effectué tout le parcours de cette compétition en ayant notamment remporté la ½ finale au Parc des Princes face au PSG. En finale contre Vannes, l’affaire avait été rapidement pliée. On menait 3 à 0 après une 1/4 heure de jeu. Même si la Coupe de la Ligue a moins de prestige que la Coupe de France, cela compte dans un palmarès ».

Rémy Vercoutre (finale remporté en 2005 avec Strasbourg 2 à 1 contre le Stade Malherbe et finale perdue en 2007 1 à 0 contre les Girondins Bordeaux).

« Cette victoire avec Strasbourg, c’est d’abord un soulagement personnel après une saison pour moi très difficile. Cette finale, je l’ai d’abord jouée pour moi. Je me souviens du but inscrit par Devaux d’une frappe fantastique. Et puis, il y a le plaisir après le match de partager ce bonheur avec ma petite famille. La finale perdu contre les Girondins, c’est un très mauvais souvenir. Je me souviens qu’à la fin du match « Toto » (Squillaci) vient me voir et me dit : de toutes façons que tu sortes ou pas, il y a ficelle. Je revois la tristesse de « Jo » (Bats), triste pour moi et pour le groupe. Sur le moment, je me suis senti coupable. J’avais les jambes coupées, le souffle court. Avec le recul, c’est un peu différent ».

Greg Coupet (finale remportée en 2001 contre l’AS Monaco et perdue en tant que remplaçant contre les Girondins Bordeaux)

« Cette finale gagnée contre Monaco, c’est le lancement des titres, des lignes au palmarès. Elle a tout déclenché. Il y avait cette soif de gagner. Le match ? Je ne m’en souviens pas spécialement. Mais le scénario a montré que l’on ne lâchait rien. On était une équipe collectivement forte avec Sonny Anderson, un immense joueur. Je me souviens aussi que « Flo » (Laville) ne jouait pas, mais qu’il était avec nous. Oui, une grosse force collective. La fête avait été belle, monstrueuse. Celle perdue contre les Girondins, tu la vis différemment ; en plus j’étais remplaçant. Une finale, c’est dur quand tu la perds, mais à cette époque, on était tellement dans un processus de gagne que cette défaite était moins importante et que la déception passe plus vite. Je me dis d’ailleurs que l’OL actuellement est dans une période où un succès comme celui que nous avions connu en 2001 peut relancer la machine. Et l'histoire peut se réécrire »

Florian Maurice (finale perdue avec l’OL en 96, finale gagnée avec le PSG en 98)

« Je ne me souviens pas du tout de cette finale remportée par l’OL face à Monaco en 2001. En fait, je crois que je n’avais pas vu le match sauf des images des buts de Cacapa et de Müller… ».

Et la finale jouée et perdue en 1996 contre le FC Metz ? « Je me souviens de ce but refusé à Eric Roy par Monsieur Batta. Sur le coup, il y avait de la colère, un sentiment d’injustice. Après quand tu revois les images, c’est un peu différent. Le match avait été assez fermé et on avait eu peu d’occasions de but ».

Quant à sa finale remportée avec le PSG face aux Girondins de Bordeaux en 98 (2 à 2 et 4 tab à 2) ? « Rai avait dû marquer un but ; je crois que j’avais le centre sur son but de la tête (en fait c’est impossible car Florian avait quitté la pelouse. Il confond avec la finale de Coupe de France face à Lens). Cette victoire est un bon souvenir, même si je me souviens que j’avais fait ma tête de cochon parce que j’avais été remplacé avant la fin (à la 74ème par Loko). On avait fait un peu la fête après, mais rien à voir après celle de notre victoire en Coupe de France dans la foulée… Cela avait été quelque chose (rires)… »

Philippe Violeau (finale remportée en 2001 face à l’AS Monaco)

« Cela reste un très bon souvenir. Une finale de Coupe, c’est toujours particulier. Une
Coupe, c’est différent d’un titre de champion. C’était le premier trophée de l’OL depuis très longtemps. Il y avait eu un engouement extraordinaire autour de cette finale. Nous avions été superbement soutenus par les supporters et quel accueil au retour à Lyon. Le match avait été très disputé. Il avait fallu s’arracher. Les défenseurs étaient venus en aide des attaquants pour marquer les deux buts. Il y avait une envie d’aller au bout. C’était le début d’une belle aventure. On était en pleine construction avec moins de qualités dans le groupe qu’il y en aura par la suite. Nous étions une bande de copains qui allait dans le même sens. Cette Coupe de la Ligue fut une aventure humaine partagée avec tous les membres du club et avec les supporters ».

Ederson (finale perdue en 2006 avec l’OGCN contre l’ASNL 2 à 1)

« Oui, je m’en souviens. J’étais remplaçant alors que j’avais marqué le but de la qualification (1 à 0) lors de la ½ contre Monaco. J’avais 20 ans, L’entraineur Antonetti m’avait dit que j’avais le temps d’en jouer d’autres… J’étais entré en jeu à 20 minutes de la fin à la place de Vahirua qui avait inscrit le but… Nancy, à l’époque avait une belle équipe avec Kim, Diakhaté, Puygrenier… »

Gérald Baticle (finale remportée en 1997 avec Strasbourg aux tirs au but (0 à 0) face aux Girondins Bordeaux)

« Un grand souvenir. Mais tu te souviens aussi du parcours effectué, des difficultés rencontrées. La finale avait été équilibrée sans beaucoup d’occasions de buts. Je suis le capitaine alors je me propose pour frapper le premier tir au but, pour montrer l’exemple alors que d’habitude je frappais toujours en dernier. Mais je n’avais plus de forces. En allant frapper ce tir au but, j’avais des crampes en marchant. J’ai mis un tir sans puissance… mais tu n’y pense plus. Quand tu gagnes ou que tu perds, c’est ensemble. Je me souviens de la fête le soir. J’avais récupéré la Coupe car tout le monde l’avait oubliée. Je l’ai récupérée et amenée à la maison. Le lendemain on est allés la présenter aux supporters au Stade de la Meinau. Quelle foule pour arriver au stade. Et puis, cette coupe, c’était un double bonheur pour un club comme le Racing parce qu’elle nous ouvrait les portes d’une Coupe d’Europe ».

Bruno Genesio

« La finale de 1996, c’est le souvenir de l’action d’Eric Roy et de son but refusé par l’arbitre. Celle de 2001, je n’ai pas beaucoup de souvenirs, mis à part le but de Cacapa et cette image de Claudio accroché dans les filets monégasques. En revanche en 2007, j’étais un des adjoints de Gérard Houllier. Ce qui m’avait marqué, c’est que nous avions six joueurs internationaux qui revenaient de sélections et qui étaient fatigués pour jouer un tel match. Bien sûr qu’il y a eu la surprise de perdre, la déception parce que nous avions dominé la rencontre. Après la tête d’Henrique était imparable ».

Edmilson (vainqueur de la Coupe de la Ligue en 2001 contre l’AS Monaco 2 à 1)

Il pleuvait à Lyon… Il faisait beau au Brésil. L’ancien défenseur olympien était à la plage avec des amis. Il n’a pas perdu son français, lui qui a passé 4 saisons à l’OL de 2000 à 2004 avec 3 titres de champion, une Coupe de la Ligue et deux Trophées des Champions. Le champion du monde avec le Brésil en 2002 va bientôt ranger définitivement les crampons. Il a plusieurs projets en tête, en plus de s’occuper de sa fondation, dont celui de passer ses diplômes d’entraineur. Sur cette Coupe de la Ligue remportée 2 à 1 face à l’AS Monaco, il a gardé en mémoire deux choses principales. «C’est un souvenir très spécial pour moi. Je venais d’arriver au club. Il y avait aussi Claudio (Cacapa) et Sonny (Anderson). C’était le premier titre remporté par le club depuis très longtemps. C’était le premier titre avant les autres, ceux des très belles saisons olympiennes. Je garde en mémoire aussi ce but de Claudio. Il était arrivé à l’OL en prêt. Après cette finale, il a signé à l’OL. Oui, je retiens cette joie de mon ami ».

OLWEB.fr

Monaco 1-0 en ce moment, encore Toure..

Victoire 1-0 de Lille contre Toulouse en prolongation sur un magnifique but de Roux, lzq deux équipes y ont lâchés des forces

But magnifique?....

J'étais étonné de pas voir mon post mais j'ai compris: c'est le sujet de l'édition de l'année dernière.

Zlatan ménagé et remplacé par Hoarau selon l'Equipe.

Le bon topic est ici les gars : http://www.passion-ol.com/t11868-coupe-de-la-ligue-2012-2013